Guinée, le réputé militant et farouche activiste contre l’injustice qui se bat pour les droits de l’homme, Alhassane Keita, a fini par fuir la Guinée tout en échappant a des kidnappings du régime militaire. Habitant d’un quartier qui connaît des répressions sanglantes, a Dalaba, un quartier victime des terreurs pendant les manifestations avant de migrer vers les USA.
Éhappant a une arrestation musclée mais aussi a des menaces de morts, cet activiste volontier, qui est contraint de s’exiler pour ne pas subir toute cette mascarade du pouvoir s’est retrouvé aux États-Unis, son pays adoptif. Au temps du régime d’Alpha Condé, il avait aussi échappé au même scénario sous l’alerte des opposants du régime qui ont l’ont interpellé pour qu’il quitte la ville, il nous relate : ” Je viéns de deux communautés différentes; m
es grands-parents paternels sont de la communauté mandingue, c’es-d-dire du groupe ethnique malinké, et d’un autre côté, mes grands-parents maternels sont Peuls ou Fulanis, une communauté marginalisée depuis le bouleversement de l’indépendance. J’ai grandi entre ces deux communautés différentes, chacune avec ses coutumes et traditions. En tant que fils de ces deux communautés en conflit depuis près d’un demi-siécle, Thistoire que je m’appréte à vous raconter expliquera ma force d’adaptation forcée dans ce pays des droits de l’homme et pourquoi je demande l’asile aux États-Unis d’Amérique”, a dit cet activiste qui a laissé Dalaba pour se sauver.
es grands-parents paternels sont de la communauté mandingue, c’es-d-dire du groupe ethnique malinké, et d’un autre côté, mes grands-parents maternels sont Peuls ou Fulanis, une communauté marginalisée depuis le bouleversement de l’indépendance. J’ai grandi entre ces deux communautés différentes, chacune avec ses coutumes et traditions. En tant que fils de ces deux communautés en conflit depuis près d’un demi-siécle, Thistoire que je m’appréte à vous raconter expliquera ma force d’adaptation forcée dans ce pays des droits de l’homme et pourquoi je demande l’asile aux États-Unis d’Amérique”, a dit cet activiste qui a laissé Dalaba pour se sauver. ” Je suis une figure emblématique du militantisme en Guinée, plaidant pour les droits de l’homme, la démocratie et l’inclusion. Mon aventure dans le monde du militantisme a commencé au Parlement des Erifants en Guinée en 2012, où j’ai découvert ma passion pour la politique et les droits des jeunes. Cette expérience a posé les bases de mon engagement futur. Mon parcours a été enrichi lorsque j’ai rejoint la Junior Chamber International en 2020, une organisation dédiée au développement personnel et à l’impact communautaire. C’est là que j’ai acquis des compétences en leadership et en plaidoyer, préparant le terrain pour mon rôle futur dans la défense des droits. Cependant, un moment décisif s’est produit lorsque la Guinée a été plongée dans la controverse autour du troisième mandat du président Alpha Condé. Il avait émis un référendum pour changer la constitution et se permetre de briguer un troisime mandat La tension en Cuinée tait élevde car, depuis presque trois décennies, les Peulhs ont été marginalisés par les gouvernements et la société au point que même le président a tenu des propos racistes qui ont été enregistrés. Cela les a conduits à être les protestataires les plus actifs et les partisans de l’Union des Forces Démocratiques de Guinée (UFDG), un parti politique social-libéral en Guinée et le plus grand parti d’opposition aux présidents en exercice. Depuis que Condé est au pouvoir, lui et la police ont ciblé les Fulanis, et la violence a encore augmenté lersque le référendum a eu lieu. En raison de ma double appartenance; j’ai fait face au rejet des deux côtés, laissant une empreinte psychologique profonde, et causant même une division au sein de ma propre famille. Cette expédience a renforcé ma détermination à promouvoir l’égalité et la justice malgré les obstacles liés à mon identité complexe”, a-t-il relaté.
A rappeler que Alhassane Keïta a quitté la Guinée pour les USA en tant que militant pour la démocratie. Face aux coups de trop dont il a vécu, il a décidé de quitter la Guinée pour aller vivre dans un pays démocratique comme les États-Unis.
Affaire à suivre…
