La SONAP vient d’annoncer la fin des contrats de 56 employés, une décision qui tombe comme un couperet en cette période festive. Ces travailleurs, embauchés en janvier dernier sous l’ancienne direction, se retrouvent au chômage au 31 décembre. Si la direction justifie cette mesure par le respect des contrats initiaux, les employés concernés dénoncent une situation précaire et s’inquiètent pour leur avenir.
Cette annonce soulève de vives interrogations sur la gestion des ressources humaines au sein de la société nationale. Les syndicats et les employés s’interrogent sur les critères de recrutement et les perspectives d’emploi à long terme. La direction, de son côté, évoque des réformes en cours qui pourraient ouvrir de nouvelles perspectives. Toutefois, pour les employés licenciés, cette promesse reste vague et ne suffit pas à atténuer leur inquiétude.
Cette affaire met en lumière les difficultés auxquelles sont confrontés les travailleurs guinéens, notamment dans le secteur public. Elle interroge également sur le rôle de l’État dans la protection des emplois et la promotion d’un environnement de travail stable.
Affaire à suivre…
